Que la vie, en cette année neuve, soit belle et puissante, à l’image du fécond Mékong !
“Je descends du car ; je vais au bastingage. Je regarde le fleuve. Ma mère me dit quelquefois que jamais, de ma vie entière, je ne reverrai des fleuves aussi beaux que ceux-là, aussi grands, aussi sauvages, le Mékong et ses bras qui descendent vers les océans, ces territoires d’eau qui vont aller disparaître dans les cavités des océans.”
Marguerite Duras
Et merci pour vos vœux littéraires, qui invitent au voyage, intérieur aussi. Oui pour le vif! Le vivant! La vivacité! La vie!
Bien cordialement,
Véronique G.
Merci Véronique !